souvent femme varie

Elle avait prévu de ne plus jamais écrire sur ce blog parce que trop éloigné des objectifs de départ : dénoncer tous ces gros connards de mâles qui, parce qu'ils ont des couilles à la place du cerveau, croient qu'ils peuvent les laisser trainer sur le canapé pendant que leurs femelles s'occuperont de tout ce qui les emmerde dans la vie. Finalement, ce ne sont pas ceux de l'autre bout du monde qui ont réveillé mam mais bien les communs, les quotidiens, ceux qui ne survivent pas sans pastis ni bobonne.
Ils sont communément puants, incapables de faire des courses, comment pourraient ils se remettre en question, envisager toutes les cruches qui les assistent autrement que comme des boniches? et puis ils sont tellement aimés qu'on ne peut meme pas le leur dire.
Retour en France en 2005, ca fait froid dans le dos.